Témoignages

Courriel d’une Maman, suite au week-end du Passage. Oct 2017

Dimanche soir, ma fille Emilie et moi avons retrouvé Jacques et Paul émus de ce qu’ils venaient de vivre ensemble, soudés par quelque chose qui nous échappait au travers de regards entendus et d’une proximité entre eux jusqu’alors inconnue, gonflés d’une puissance bien plus forte que celle d’un seul homme et confiants définitivement confiants. Je ne soupçonnais pas la force et l’impact que ces moments passés entre hommes pouvaient provoquer.

 Au travers de ce week-end qui lui a permis de rencontrer son père mais surtout la communauté des hommes qu’il est en train de rejoindre, j’ai la sensation qu’il a grandi, qu’il a pris en confiance et en assurance et qu’il peut maintenant se projeter plus sereinement à titre perso et pro.

 C’était également un grand privilège de venir vous rejoindre pour partager ce moment de mise en commun – au retour de la forêt – très émouvant.

Les prénoms ont été changés par soucis de confidentialité.

Courrier d’un père, suite au week-end du passage oct 2018

Je tenais à vous dire encore ma gratitude pour ce merveilleux week-end, n’ayant pas eu sur le moment les mots car submergé par tant d’émotions. Le retour avec mon fils à été extraordinaire, nous avons échangé, beaucoup parlé, réellement en toute franchise et en tout amour. Nous sommes tous les deux au début de nôtre quête – même si dans l’armure de mensonges que je m’étais crée, je croyais avoir pris un peu d’avance… – et notre rencontre avec vous tous est gravée dans nôtre cœur.

Une rencontre qui m’a permis un retour sur mon identité par le chemin de l’humanité, Régis

Courrier d’un père, suite au week-end du passage oct 2020

Mon retour de ce week-end avec Daniel, un jeune adolescent que j’ai accompagné qui n’était pas mon fils. En le retrouvant plusieurs semaines après, j’ai sentis chez lui une grande présence vraie. Pas de faux semblant, une parole vraie et un regard franc. Ça vie n’avait pas profondément changé, son regard oui et une forme de nouveauté en lui.
Je crois que ce qui à été semé durant ce week-end de Passage ne demande qu’a germer.
Sa vie est dans ses mains et les rencontres à venir.
J’éprouve un sorte de joie humble d’avoir pris le temps d’accompagner ce jeune homme.

Pascal